Scénario autour de deux jeunes danoises, ne parlant pas le français, à la recherche, la nuit venue, de trois jeunes garçons rencontrés sur une plage le matin et qui ne se retrouveront qu’à l’aube. Prétexte pour montrer Saint Tropez en plein délire nocturne.  Ce film, d’abord interdit de sortie par la censure, a pu cependant être exploité sur l’intervention expresse d’André Malraux, alors Ministre de la Culture qui voyait en ce film :‘‘ l’ incontestable beauté de l’explosion de la sensualité de toute une jeunesse prise sur le vif, mais aux  images toujours contrôlées ne portant aucune atteinte à la morale’’. Ce court métrage a connu un réel succès.

Suspens - Un homme qui, pour convaincre chacun de la démence prêtée à sa femme, simule son propre meurtre ; l’épouse persuadée de son crime, ne manquera  pas d’accumuler sur sa tête maintes erreurs de nature à la conduire droit à la clinique psychiatrique.

Ce film a été distingué par le Club Alfred Hitchcock et en a reçu le label.

‘‘la légende de Tristan et Yseult’’ transposée au Brésil.. Jean Cocteau disait de ce drame qu’il était impossible de l’imaginer sans l’intervention crédible d’un philtre d’amour ; sinon  il faut y renoncer. Au Brésil ces philtres existent encore.

Ce film a été invité au Festival Cinématographique de Berlin en 1967.

C’est avant tout un enseignement conjugal ; celui d’un couple parti se reposer en Camargue pour se retrouver. C’est le face à face d’un mari, non sans problème, trop sûr de son épouse troublée à l’heure peut-être de la tentation.

Ce film, retenu pour le grand prix du cinéma français (Prix Delluc), l’a manqué à une voix près au profit de ‘‘Vivre pour vivre’’ de Lelouch, ce qui n’a nullement nui à son succès dans le monde entier. Ce film a été invité aux Festivals de Cannes et de Venise pour les journées des réalisateurs.

En pleine guérilla, en Amérique du sud, un mercenaire professionnel au service du pouvoir fait prisonnier un chef rebelle qu’il doit ensuite conduire à travers la jungle jusqu'à la capitale avec une faible escorte disséminée lors d’une embuscade. Les deux hommes, que tout sépare, sont alors soudainement livrés à eux-mêmes.

Ce film a reçu la colonne d’or ( mention décernée pour la bande sonore)

Scénario, adaptation et dialogues d’Antoine d’Ormesson et Lucile Terrin - musique d’Antoine d’Ormesson (1970). Tourné volontairement avec des acteurs inconnus : Willy Klift, Albane Navizet, Katia Romane, Bernard de Luze, Jacques Delacroix, Christophe Bernardini , Jean Claude Havas, Tamila Mesbah,  Edih Vard, Isabelle Terrin et Maryan Inger. Direction photographie Oleg Tourjansky - Directeur Production Ant. Maestrati.

Un moment de la vie d’un homme obsédé, partageant par d’habiles mensonges sa vie courante entre sa femme légitime et une véritable compagne. Toutes deux sont, quasiment heureuses, et ignorent, chacune d’entre elle, l’existence de l’autre. Et pourtant, cet éternel insatisfait ne cesse de chercher, là où il peut, l’aventure.